ISOLEMENT SOLITUDE

L’ISOLEMENT AU TRAVAIL RIME AVEC ÉPUISEMENT

Dirigeants comme salariés, personne n'est épargné par l'isolement au travail

Quand isolement rime avec épuisement côté pro

Aujourd’hui, beaucoup de salariés communiquent avec leurs collègues, managers et clients via e-mails, téléphone, messagerie instantanée ou outils collaboratifs comme Slack. Pour ceux qui travaillent chez eux 5 jours sur 5, les échanges en face-à-face sont parfois très rares voire inexistants. Certains de ces freelances ou salariés en 100% télétravail ne connaissent pas les discussions entre collègues autour de la machine à café ou pendant les pauses déjeuner.

Mais si l’on a plutôt tendance à associer la solitude au télétravail, les salariés entourés de collègues et qui se rendent au bureau tous les jours peuvent eux aussi être touchés par ce sentiment de solitude, même ceux travaillant en open-space. En fait, tout le monde peut potentiellement ressentir ce vide relationnel à un moment donné dans sa carrière. Par ailleurs, l’hyperconnexion et l’absence d’interactions directes ont un impact négatif sur la sensation de bien-être au sein de l’entreprise et par extension sur la performance au travail.

ISOLEMENT RIME AVEC ÉPUISEMENT

Quand isolement rime avec épuisement côté perso

Au-delà de l’effet néfaste sur l’entreprise, la sensation d’isolement a des conséquences sur la santé mentale de l’employé. En effet, se sentir coupé des autres peut provoquer des troubles anxieux ou encore une dépression, entraînant parfois des arrêts maladies. Le sentiment de solitude peut également détériorer l’ambiance globale au travail ainsi que les performances de l’équipe de ce salarié.

Pourtant, parfois, une seule relation de qualité avec un collègue ou un manager peut faire toute la différence. De bonnes relations humaines favoriseraient d’ailleurs la performance et de meilleurs résultats de l’entreprise.

La solitude dans un environnement social hostile est devenue l’un des événements majeurs dans la genèse de la souffrance au travail et dans la déstabilisation de l’équilibre psychique.

(Christophe Dejours, 2012)

QUELLES SOLUTIONS POUVONS-NOUS METTRE EN PLACE ?

Concrètement, que faire pour rompre l’isolement et (re)construire la relation ? 

  • Prendre conscience de la montée de son propre isolement professionnel, ou de sa solitude, et ne pas sous-estimer ou nier ce ressenti.
  • Soutenir la personne concernée face à cette difficulté puisque c’est le sentiment de ne pouvoir compter sur personne qui fait le lit de l’isolement professionnel.
  • Privilégier les échanges en face à face pour ré humaniser la relation. Les salariés qui échangent en face à face avec plus de 3 collègues par jour sont presque deux fois moins nombreux à souffrir de solitude (21 % vs 36 %).
  • Promouvoir le travail collaboratif car la fréquence du travail en équipe est directement corrélée au bien-être au travail.
  • Repenser l’espace de travail pour réinsuffler une dynamique collaborative. L’aménagement des bureaux impacte directement la qualité des relations. Le format idéal pour favoriser le plus les échanges positifs et constructifs est un bureau partagé par 2 à 6 personnes.

QUE DIT LA PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL SUR L'ISOLEMENT AU TRAVAIL ?

Aujourd’hui, nombre de travaux en psychodynamique du travail convergent vers
l’analyse d’une érosion des rapports d’entraide et de solidarité au travail, le développement de relations de compétition et de méfiance réciproque, et un isolement croissant de chacun qui fait le lit d’une montée de la solitude et des troubles associés.

Ainsi, la question du harcèlement moral au travail ne serait pas nouvelle, mais dans un contexte de dégradation du « vivre ensemble au travail », chacun peut se trouver seul en butte à l’injustice ou la maltraitance. Christophe Dejours analyse plus globalement ces « pathologies consécutives non seulement à un harcèlement ou à une persécution, mais à un contexte de solitude résultant solidarité et du collectif de travail». De même, les travaux sur les suicides au travail indiquent que ceux-ci sont la conséquence d’un niveau ultime de solitude dans un tel contexte de désolidarisation des collectifs de travail et donc de fragilisation des stratégies défensives. Le suicide au travail est identifié comme l’expression de la déstructuration de la communauté de travail et des liens à autrui.

Ils ne sont pas, dans la majorité des cas, le fait d’individus isolés ou mis à l’écart, mais ils traduisent une profonde solitude affective.

Cette solitude que Hanna Arendt a théorisée sous le terme de « désolation » et qui est reprise par la psychodynamique du travail s’éprouve dans « le sentiment d’inutilité, de non-appartenance au monde, dans l’abandon par autrui, dans le déracinement, dans le sentiment de se faire défaut à soi-même ».
d’une stratégie d’isolement par une technique de management visant la désagrégation de la solidarité et du collectif de travail»

Pour aller plus loin :

Et si nous privilégions la meilleure façon d’échanger à celle qui va le plus vite ? Et si nous décidions à nouveau de prendre soin du lien social en remplaçant une organisation du travail solitaire par une organisation du travail solidaire ?

LA FIN DU SILENCE D'ÉPUISEMENT CHEZ LES DIRIGEANTS

RECONVERSION PROFESSIONNELLE : PAR OÙ COMMENCER ?

Besoin de reconnaissance ?
Besoin d’un emploi sécurisé ?
Vous voulez explorer votre leadership ?
Vous voulez exploiter vos talents et votre créativité ?
Un environnement bienveillant c’est très important pour vous ?
Vous ne vous voyez pas travailler autrement qu’en étant autonome ?
Peut-être avez-vous décidé que le plus important était votre rémunération ?
Ce que vous aimez c’est faire plein de choses différentes dans un seul et même emploi ?

 

RECONVERSION PROFESSIONNELLE : PAR OÙ COMMENCER ?

L'autotest reconversion professionnelle

Je vous propose en complément de l’autotest RECONVERSION PROFESSIONNELLE ET ORIENTATION des pistes pour mieux comprendre ce dont vous avez absolement besoin de retrouver dans votre environnement professionnel : AUTONOMIE, BIENVEILLANCE et RECONNAISSANCE. Référez-vous à vos résultats d’autotest pour commencer votre introspection.

Je veux plus d'autonomie !

Ce que l’autonomie n’est pas :

L’individualisme, l’indépendance, la dépendance
Le désordre, la liberté, la contrainte
L’indifférence, le pouvoir absolu, l’absence d’appartenance

Le pouvoir de l'autonomie :

Décider pour soi, en fonction de critères personnels
Maitriser son environnement, ses limites
Être responsable
Gérer l’interdépendance à autrui

Autonomie professionnelle : mode d'emploi

La maitrise des savoirs : c’est la maitrise de son environnement et de ses acquis. Votre besoin d’autonomie est fort ? Donnez-vous les moyens de l’obtenir et de la conserver en renforçant vos fondamentaux – le B.A.BA de votre métier actuel, où celui que vous visé par exemple – n’attendez pas d’être dans un nouveau poste pour commencer à maîtriser ce dont vous aurez besoin. Il y a tant de MOOC (Massive Open Ligne Course) et de webinaires accessibles gratuitement qu’il serait dommage de ne pas sauter le pas !

La responsabilité : Qui dit autonomie dit responsabilité, mesure des risques et surtout la capacité d’assumer les conséquences. Être autonome c’est devenir responsable.

Être responsable ne s’improvise pas : il s’agit de faire le pari que le meilleur moyen de construire un «monde meilleur» est d’agir, agir là où l’on est, sur les grandes et petites choses dont on a la charge.

Ne vous laissez pas porter par un quotidien étourdissant d’informations, ni influencer par des avis qui prennent trop souvent le déguisement de la vérité, tracez votre chemin : prenez la responsabilité de vos pas à pas et appréciez bien chacun d’entre eux.

La dépendance et l’interdépendance : La gestion des dépendances et l’interdépendance à l’autre. Il est indispensable de cultiver les liens sociaux positifs, empathiques et altruistes dont les vertus sont essentielles à notre propre survie, aussi bien pour autrui que pour soi-même.

La dépendance (et l’interdépendance) est trop souvent considérée comme quelque chose de négatif. Cette croyance que la dépendance est forcément un risque ou néfaste à la vie de chacun. Mais de fait, avec cette idée en tête, notre époque tend plus à se fondre dans l’individualisme, à opposer indirectement la liberté individuelle à l’interdépendance alors que ce sont deux choses bénéfiques socialement, lorsqu’elles fonctionnent ensemble.

Être le plus indépendant possible, conduit inévitablement à un enfermement de soi, et multiplie les risques de négligence en ayant un impact sur l’entourage et sur soi-même. Ne privez pas les autres de votre présence et faites-vous confiance, à vous et votre instinct, pour vous entourer des bonnes personnes.

L‘interdépendance est vraiment quelque chose qui nous aide à faire face aux situations difficiles et plus on cherche à fuir l’autre plus on risque de devenir solitaire c’est l’une des premières causes de dépression et avouez-le personne n’a besoin de ça en ce moment !

Je veux un environnement plus bienveillant !

Ce que la bienveillance n’est pas :

Le pouvoir de la bienveillance :

Être bienveillant avec ses collègues, c’est permettre à chacun de trouver sa place dans l’équipe, de faire savoir à l’autre qu’il peut compter sur vous et que vous pouvez l’épauler dans ses tâches. Ces éléments, qui participent à créer des échanges paisibles, seront sources de motivation ainsi que de réels facteurs de prévention des risques psychosociaux à votre travail.

Être bienveillant avec son supérieur, c’est le considérer de la même manière dont vous vous considérez : c’est-à-dire l’employé d’une même entreprise avec le même but de performance. La reconnaissance de la réussite et la valorisation du travail ne doivent pas seulement provenir d’en haut : il est important de recevoir du soutien des personnes avec lesquelles nous travaillons quelle que soit notre position hiérarchique.

Bienveillance : mode d'emploi

Bienveillance bien ordonnée commence par soi-même : Les spirales négatives de l’autocritique, de la dépréciation et du jugement envers soi-même n’entraînent bien souvent que des relations toxiques et un mal-être permanent. Au contraire, se porter de l’attention et s’estimer permet aussi à l’autre de l’être avec soi !

Comment être bienveillant ?

  • Faire preuve d’indulgence. Veillez à exprimer vos inquiétudes de manière positive.
  • Faire preuve de considérationChacun a ses exigences à respecter, son travail à mener, sa famille à s’occuper. Faire preuve de bienveillance c’est considérer tous ces facteurs et plus seulement un acte isolé qui pourrait mettre les feux aux poudres.
  • Porter de l’attention aux autresLa bienveillance réside aussi dans l’attention que l’on porte à l’autre. Faire attention aux expressions faciales, aux gestes, aux besoins et aux commentaires spontanés des individus, aide à comprendre leurs désirs et leurs ressentis et donc, favorise les interactions.

Bienveillance où la trouver ? Attention c’est ceux qui en parlent le plus qui en font le moins. Les «nouveaux» collaborateurs choisissent une entreprise pour une culture, des messages ou une singularité qu’ils ne retrouvent pas forcément une fois embauchés.  La vérité sort toujours de la bouche des salariés c’est donc là que vous trouverez si bienveillance il y a avant de signer tout contrat.

Je veux davantage de reconnaissance au travail !

Ce que la reconnaissance peut être :

«La reconnaissance est devenue une demande quasi unanime chez les salariés et une composante essentielle de la vie au travail. Elle touche toutes les organisations, privées ou publiques, et toutes les professions, du bas en haut de la hiérarchie. Elle prend la forme de revendications de salaire, de statut, mais aussi d’une demande plus générale et plus diffuse qui porte sur la personne elle-même, le « respect » et la dignité que chacun estime lui être dus.»

J.-P. Brun, « La reconnaissance au travail », Sciences humaines, 30 mars 2010.

Les questions indispensables :

Pourquoi ? Dans quel but avez-vous besoin de reconnaissance ? 

Pour maintenir votre performance et votre santé ? Maintenir votre fidélisation à votre employeur ? Maintenir votre bien-être social en interne  ? – Ce niveau de besoin est intimement lié à votre niveau de confiance en soi : par exemple plus votre confiance en vous est faible plus votre besoin de reconnaissance sera élevé pour maintenir votre bien-être en entreprise.

Sur quoi vous souhaitez que porte cette reconnaissance ? Sur vos résultats ? Vos efforts ? Vos Compétences ? Votre comportement ? Votre ancienneté ? Votre expérience ? – Votre lieu de reconnaissance est le lieu de votre respect de soi :  par exemple vous souhaitez que soient reconnues avant tout vos compétences ? Cela signifie que vos compétences sont ce dont vous êtes le plus fier et que votre besoin d’utilité est élevé.

Par qui ? La valeur de reconnaissance varie aussi selon la personne qui la porte vers vous. 

 Vous souhaitez un retour de votre hiérarchie, de vos pairs ? Votre besoin de reconnaissance est descendant.

 Vous souhaitez un retour de vos clients, de vos employés ? Votre besoin de reconnaissance est ascendant.

 Vous souhaitez un retour de votre famille, de la Société ? Votre besoin de reconnaissance est collatéral.

Comment ? L’échelle de la reconnaissance varie également selon ce que votre estime de soi a besoin et votre rapport à la justice sociale. 

Un haut niveau de rémunération ou une augmentation ? un accès large à des formations ? Davantage de responsabilités ? Des encouragements ? 

reconversion professionnelle reconnaissance

Avoir conscience du type de reconnaissance dont vous avez besoin, c’est pouvoir vous orienter vers le mode de travail qui vous conviendra le mieux.

Ce que le travail peut vous apporter comme équilibre dans votre besoin de reconnaissance :

Entendre qu’on vous dise
« j’apprécie ce que vous faites ».

L’appréciation renvoie au fait que certains individus sont reconnaissants envers d’autres individus pour leurs efforts et engagement et ce quelles que soient les capacités et le succès des actions d’ailleurs. 

L’appréciation dépend de l’appartenance à une communauté, une équipe qui partagent des valeurs communes permettant d’apprécier les efforts de leurs membres. La reconnaissance sous forme d’appréciation est un moyen d’échange social et un ciment pour le bon fonctionnement des groupes sociaux.

L’appréciation ou estime se retrouve dans les postes de subordonnés cadrés par une présence hiérarchique forte, sécurisante. Elle correspond à des emplois de longue durée qui porte sur les efforts effectués pour appliquer les demandes, ordres, prescriptions de façon convenable.

Entendre qu’on vous dise
« j’admire ce que vous faites / êtes ».

L’admiration renvoie au prestige attaché à des moyens financiers, des capacités et au succès.

Elle relève d’une relation de reconnaissance qui place immédiatement l’individu dont la valeur est reconnue en position de supériorité par rapport à d’autres individus.  

Les modes de travail où la reconnaissance et admiration ne font qu’un sont le mode projet, le mode mission et l’emploi à durée déterminée. 

L’admiration porte davantage sur les ressources diverses que les individus sont susceptibles de mobiliser dans la conduite des projets, sur les capacités dont les individus font preuve pour mener ces projets à bien et sur le succès de leurs initiatives 

Ce qu'il faut retenir de la reconnaissance :

  • C’est un besoin légitime, nous sommes en droit d’être reconnu pour ce que nous faisons et/ou pour ce que nous sommes. Et puis c’est un outil utilisé en management, un outil de promesse : combien de « si tu fais ceci ou cela, tu auras la possibilité d’avoir ceci ou cela » ?
  • C’est un besoin propre à chacun : qui préfèrera les encouragements de sa hiérarchie et qui l’admiration de ses collègues ?
  • Ce besoin nous met en position d’attente et nous ne sommes pas tous égaux en matière de patience alors autant avoir conscience de vers où aller chercher le graal ! Mieux encore plus votre estime de soi sera solide moins cette attente n’impactera votre moral.

Quel que soit votre besoin primordial dans le travail il est essentiel que vous placiez des actions pour l’atteindre, il en va de votre bien-être, de votre santé mentale, de votre sérénité, de votre épanouissement professionnel mais pas que !

Une reconversion professionnelle, que j’appelle plutôt conversion dans mes accompagnements tant il s’agit moins d’une révolution qui chamboule tout qu’une introspection qui permet de se rapprocher de soi, est un grand pas car nous le savons tous : un travail n’est pas qu’un travail, un travail c’est une part de nous que nous pouvons choisir. Pourquoi s’en priver ?

AUTOTEST : RECONVERSION PROFESSIONNELLE

La crise sanitaire a augmenté les problématiques liées au travail et de fait accéléré les envies de reconversion. Même si la reconversion professionnelle est maintenant monnaie courante dans une carrière, elle n’en reste pas moins une expérience compliquée. Pour que votre envie devienne réalité, je vous guide dans l'étape initiale des "intérêts professionnels" pour réussir votre reconversion professionnelle.

Je vous invite à questionner le sujet principal de cette reconversion : VOUS.
Vous optimiserez vos chances d'aboutir à une reconversion réussie ou de trouver la meilleure voie professionnelle si vous connaissez la nature de vos intérêts professionnels.

Posez-vous les bonnes questions … en voici quelques-unes :
⌚8 minutes

AUTOTEST : VOTRE ANXIÉTÉ EN QUESTION

Qu'est-ce qu'une personne anxieuse ?

Tout le monde éprouve un jour ou l’autre de l’anxiété. C’est tout à fait normal car notre anxiété nous protège et peut nous aider à faire face à une situation dérangeante ou dangereuse. L’anxiété est ressentie comme une peur dont la cause est difficile à préciser.

Une personne anxieuse aura tendance à penser que le pire est probable et à construire des stratégies pour éviter les difficultés éventuelles. Le moindre évènement anodin peut ainsi entrainer de lourdes complications énergivores et chronophages.

L’anxiété se traduit pas plusieurs symptômes comme la fatigue, les troubles du sommeil, les maux de tête, l’inconfort viscéral, des palpitations cardiaques, une transpiration excessive, des difficultés à se concentrer, un sentiment constant d’inquiétude. Plus le nombre et lk’intensité des symptômes croissent plus le trouble anxieux paralyse la vie des individus concernéz.
Il est toutefois naturel de ressentir un certain niveau d’anxiété dans certaines occasions, par exemple lorsque vous vivez un changement de vie important (transition professionnelle, déménagement, deuil, naissance).

Quand est-ce que l'anxiété devient un problème ?

Lorsque votre anxiété passe d’un état temporaire à un état généralisé il est nécessaire de prendre la problème en main.

L’anxiété devient un problème quand :

  • elle vous préoccupe continuellement,
  • elle n’est liée à aucun événement de votre vie,
  • elle vous empêche d’agir normalement au quotidien,
  • elle vous occasionne un niveau de mal-être important,
  • elle ne disparaît pas une fois que la situation revient à la normale.

L’anxiété peut alors être un signe de la présence de troubles anxieux.

L'autotest : est-ce vraiment de l'anxiété ?

L’échelle d’anxiété évalue les sentiments d’appréhension, la tension, la nervosité et l’inquiétude que vous pouvez ressentir dans la vie en générale. Cet autotest permet d’évaluer votre niveau d’anxiété sur les dernières semaines écoulées.

En le repassant dans quelques mois, il sera probablement différent : moins bon si la vie vous a amené plus de soucis, ou meilleur s’il y en a eu moins et/ou si votre démarche de développement personnel porte ses fruits.

Vous allez prendre connaissance de 20 phrases courantes que tout à chacun peut utiliser pour se décrire.
Lisez chacun des énoncés et choisissez ceux qui conviennent le mieux à la façon dont vous vous sentez en général.
Il n’existe ni bonnes ni mauvaises réponses.

Donnez la réponse qui semble décrire le mieux ce que vous ressentez à cet instant sans y passer plus de temps que nécessaire.

PRENEZ VOTRE ANXIÉTÉ PAR LA MAIN

De quoi parle-t-on lorsqu’on parle d’anxiété ?

L’anxiété est une émotion de malaise, qui se traduit par un état d’appréhension, de détresse plus ou moins intense, de nervosité : on a la gorge ou l’estomac noué, des difficultés à respirer, des palpitations, on transpire… alors que l’angoisse est une émotion ponctuelle et survient souvent sous forme de crise.

ANXIÉTÉ PAR LA MAIN

Les personnes qui souffrent de troubles de l’anxiété passent souvent des heures à imaginer le pire, puis à s’en vouloir lorsque tout compte fait rien de dramatique ne se passe. L’impression de s’être rongé les sangs pour rien vient entamer l’estime de soi de la personne et ajoute du mal-être à l’état d’anxiété.

Commençons un dialogue avec vos craintes :

1. Prenez acte lorsque votre anxiété vous accompagne

Impossible de faire de la méditation ? Au bout de 2 minutes la liste de vos soucis défile sous vos yeux. Il y a les soucis du jour, ceux de l’année et les boulets qui vous suivent depuis bien longtemps et tous n’ont qu’un seul objectif : vous empêcher de lâcher-prise. Et ils y arrivent parfaitement, tant et si bien que c’est fini pour vous, plus question de vous mettre en tailleur sur le tapis : ça n’est pas fait pour vous. 

Et bien OUI ! Pourquoi insister puisque votre esprit est encombré ? Alors prenez acte : votre anxiété vous accompagne et ce n’est pas le cas de tout le monde (c’est d’ailleurs pour cela que tout le monde ne peut vous comprendre). Il vous revient de décider si c’est une fatalité ou si vous souhaitez plus d’espace dans votre vie et donc vous libérez de cet état qui vous épuise et vous empêche d’évoluer.

2. Dialoguez avec votre anxiété

L’anxiété est là, vos mains moites vous le disent, des palpitations aussi et ça trotte dans votre tête. C’est le moment d’instaurer un dialogue avec votre anxiété. Demandez-lui “Et après ?” dans le sens “et après qu’est-ce qui se passerait ?” et continuez le dialogue. Votre anxiété est venue vous chercher et bien suivez-la jusqu’au bout, jusqu’à être en face de l’angoisse finale pour mieux la relativiser. 

L’objectif est de “dégonfler” la situation qui vous bloque et de noter si cette angoisse finale est souvent la même : la peur de la mort ? La peur d’être ridicule ? La peur d’être seul(e)…. Encore une fois, prenez acte.

Votre anxiété, nous l’avons vu, vous accompagne, mais elle vous parle également. Elle parle de vous. Cette expérience de dialogue est très efficace, n’hésitez pas à parler de ce test lorsqu’il a été fructueux à vos amis car ceux-ci pourront s’en servir également pour vous aider. En effet, il est important que votre entourage puisse utiliser avec vous le “Et après » en toute bienveillance.

3. Découper votre anxiété en petites angoisses

L’un des plus gros dossiers qu’on ne vous ait jamais confié vient d’arriver sur votre bureau. Enfin ça, c’était vendredi dernier et rien à faire vous êtes paralysé(e), impossible de commencer. L’enjeu est trop grand, la confiance qu’on vous donne vous déstabilise : et si vous ratiez tout ?
Plus vous remettez les choses à plus tard,
plus commencer vous semble impossible, plus l’anxiété prend de place : VOTRE PLACE.

En effet, il y a ce gros dossier à mener à terme, mais avant tout il y a prendre le dossier en main, l’ouvrir et le parcourir rapidement.

C’est une démarche simple mais cela peut être votre déclencheur “chasseur d’angoisses”. Ensuite fixez-vous votre deuxième objectif à court terme. Chaque montagne se gravit pas à pas, et sans le premier pas les autres ne peuvent s’enchaîner. Avec habitude vous pourrez contrôler votre anxiété en supprimant ce qui l’aggrave : la procrastination.

Attention toutefois : contrôler une émotion, ou la gérer ce n’est en aucun cas la libérer. Contrôler son anxiété c’est donc une solution provisoire en attendant que vous ayez le courage de vraiment règler le problème en profondeur, c’est là que j’interviens.

4. Admettez l’irrationalité de votre anxiété

VOTRE ANXIÉTÉ EN QUESTION

Regardez la peur. La peur est une réponse à une menace. Son effet protecteur fait d’elle un sentiment essentiel à notre vie – notre survie.

Toutes nos peurs viennent de la même source : celle de souffrir et de mourir. Mais alors que certaines menaces sont réelles — nous l’avons ressenti durant la pandémie — d’autres découlent de notre éducation, de notre société et de nos expériences.

Qu’en est-il de l’anxiété ? L’anxiété est irrationnelle, elle n’a pas de fondement dans la réalité des faits. En constatant que le pire ne s’est pas produit, vous atténuerez la peur que vous ressentez. Plus tôt vous admettrez que l’énergie que vous avez mise dans votre anxiété a été brûlée en vain, plus tôt vous briserez le cercle vicieux.

5. Reconnectez-vous à vos bons réflexes

Votre esprit se rebelle devant le mot « méditation », par contre il acceptera beaucoup plus aisément le mécanisme anti-stress le plus efficace connu : votre respiration.

Il s’agit de vous donner la possibilité de retrouver une humeur stable. Vous pouvez rester assis(e), mains sur le ventre, je vous conseille toutefois si possible de changer de lieu et de marcher simplement en regardant autour de vous avec intérêt pour les gens et les choses qui vous entourent. Souffler. Vos muscles vont se décontracter d’eux-mêmes, votre cerveau suivra.

Prenez votre anxiété par la main

Dans mes accompagnements j’ai à cœur de tenir compte de toutes les sensibilités pour vous faire avancer vers une meilleure vie au travail. Cela passe par la compréhension de votre fonctionnement face aux difficultés du quotidien : anxiété, dévalorisation, perte de confiance…

L’échelle d’anxiété évalue les sentiments d’appréhension, la tension, la nervosité et l’inquiétude que vous pouvez ressentir dans la vie en générale. Cet autotest permet d’évaluer votre niveau d’anxiété sur les dernières semaines écoulées.

En le repassant dans quelques mois, il sera probablement différent : moins bon si la vie vous a amené plus de soucis, ou meilleur s’il y en a eu moins et/ou si votre démarche de développement personnel porte ses fruits.

Vous allez prendre connaissance de 20 phrases courantes que tout à chacun peut utiliser pour se décrire.
Lisez chacun des énoncés et choisissez ceux qui conviennent le mieux à la façon dont vous vous sentez en général.
Il n’existe ni bonnes ni mauvaises réponses.

Donnez la réponse qui semble décrire le mieux ce que vous ressentez à cet instant sans y passer plus de temps que nécessaire.

renforcer votre estime de soi

RENFORCER VOTRE ESTIME DE SOI POUR GAGNER EN QUALITÉ DE VIE

Se comprendre soi-même pour accéder à votre estime de soi

La première étape consiste à vous connaître vous-même à un niveau plus profond.

C’est le test de l’île déserte mais au lieu de penser à ce que vous y amèneriez prenez conscience que tout ce que vous avez autour de vous a disparu.

votre estime de soi

Demandez-vous  :

  • Que ressentirais-je si tout ce que j’avais était enlevé et qu’il ne me restait rien d’autre que moi-même ?
  • Qu’aurais-je encore pour moi qui aurait de la valeur ?

Ce que vous ressentez vis-à-vis de vous-même à ce moment très précis en vous posant cette question de disparition matérielles c’est votre estime de soi.

Si vous avez une haute estime de soi peu importe ce que l’on vous enlèvera, cela ne changera pas votre perception de vous-même : vous ne mesurez pas votre valeur selon des circonstances extérieures.

Plus vous creuserez la question, plus vous découvrirez en vous-même ce qui a réellement de la valeur. Et toutes ces choses que aurez découvertes seront essentielles pour construire votre estime de vous-même.

Prenez un petit carnet surtout si vous avez moins de 31 sur l’échelle de Rosenberg car voici d’autres questions pour que vous puissiez vous voir tel que vous êtes. Bats les masques ! 

Notez :

Qu’est-ce qui me passionne le plus ?

  • Pas de passion ? aucune culpabilité à avoir vous êtes plus nombreux que vous ne le pensez ! Prenez cette question en échange :
    • Qu’est ce qui me satisfait et me remplit de joie dans ce monde ?
  • Quels sont les moments les plus importants de ma vie qui ont fait qui je suis aujourd’hui ?
  • Comment les autres parlent de moi ? Comment les autres me voient ? 
  • Qui je ne suis pas ?
  • Qui suis-je ?

Qui vous êtes et comment vous vous voyez sont des questions essentielles pour comprendre votre valeur. Comment les autres vous perçoivent et parlent de vous est important, bien sûr, mais ce qui est important dans ces questions c’est surtout ce que vous ressentez vis-à-vis de vous-même, en réponse à ce que les autres peuvent voir ou dire de vous. C’est également une façon de mesurer votre estime de vous-même.

Avec cela, prenons le temps d’évaluer vos faiblesses et vos difficultés. Il est nécessaire de dresser le tableau le plus objectif de vous même. 

Demandez-vous  :

  • Dans quel domaine ai-je le plus de difficultés ?
  • Dans quel domaine ai-je le plus besoin / envie de m’améliorer ?
  • Quelles peurs m’empêchent de réaliser mes envies ?
  • Quelles émotions ai-je du mal à gérer ?

Nous avons tous des domaines dans lesquels nous n’excellons pas par manque de compétences, de capacités, par manque d’intérêts aussi. C’est tout à fait normal néanmoins, en regardant en face ces faiblesses vous pouvez déjà voir comment vous pourriez vous améliorer si vous le souhaitez.

L’estime de soi se construit avec des efforts et comme vous l’avez vu en passant l’autotest l’échelle de Rosenberg nous ne sommes pas égaux dans ce domaine.

Comprendre comment vous fonctionnez est le premier pas à réaliser dans cette démarche d’introspection.

Les masques étant tombés : notez l’étendue de vos forces, vos compétences

Demandez-vous  :

  • De quels talents / compétences je dispose aujourd’hui ?
  • Dans quel domaine je suis vraiment doué(e) ?

Vos forces vous aident certes à construire votre confiance en vous, elles vous aident à continuer à aller de l’avant avec assurance. Cependant, n’oubliez pas que vos véritables points forts ne sont à évaluer que vis-à-vis de vous même.

Si vous attendez des autres qu’ils vous disent que vous êtes doué ou non à quelque chose, ce n’est pas une vraie force. Si vous placez cette attente dans le cadre de votre travail vous risquez d’attendre longtemps voire en vain une reconnaissance adaptée à vos besoins..

À l’avenir, il est possible que ces personnes qui vous ont flatté changent d’avis, que votre manager ne vous envoie pas des signes clairs d’encouragements, alors d’un seul coup vos compétences vous semblent disparaître surtout si vous comptiez sur ces personnes pour évaluer vos talents.

La véritable force provient de vous seul, de votre pouvoir personnel, ce que vous croyez réellement vis-à-vis de vous-même.

S’accepter soi-même pour consolider votre estime de soi

Avec l’autotest Échelle de Rosenberg vous avez une image plus précise de votre niveau d’estime de soi. Vous comprenez également davantage comment vous vous percevez dans le monde qui vous entoure avec la 1ère étape.

Si vous remontez dans votre histoire personnelle vous avez sûrement des souvenirs plutôt bons et des choses dont vous n’êtes pas fier(ère). Toutefois, pour renforcer votre estime de soi, celle-ci doit être réelle et authentique. Votre image de vous-même ne doit pas être un fantasme ou une idéalisation de vous-même. Vous devez accepter votre nature profonde, et cela inclut toutes vos facettes, les bonnes comme les moins bonnes

Oui, vous avez des défauts, vous avez fait des erreurs et vous échouez même de temps à autre. Parfois vous avez fait tout ce que vous pouviez dans telle situation ou tel contexte et parfois non, mais toutes ces expériences ont fait de vous qui vous êtes aujourd’hui. Tout cela, c’est qui vous êtes.

Prenez le temps de vous poser cette question et notez tout ce qui vous vient :

Qu’est-ce que je me reproche aujourd’hui ?

A présent, pardonnez-vous pour tout ce que vous avez fait dans le passé et acceptez-vous inconditionnellement sans jugement ni excuse. Lisez cette phrase ci-dessous à haute voix, prenez le temps de la comprendre et d’en faire la vôtre.

Dîtes : « J’accèpte mes bons et mes mauvais côtés. J’accèpte complètement chaque partie de mon être, que ce soit mes défauts, mes peurs, mes mauvais comportements.
Je ne renie ni ne cache mes qualités. C’est ce que je suis et je suis en paix avec ça.»

Vous avez maintenant un sentiment plus franc entre ce que vous pensiez être vous et ce que vous êtes : vous avez des forces et des faiblesses. Laissez sur le bord du chemin tous les boulets qui vous retenaient et vous ralentissaient depuis toutes ces années, laissez-les au passé !

S’aimer soi-même pour muscler son estime de soi

ESTIME DE SOI

Imaginons que ça y est : vous vous êtes accepté vous-même, il est temps de reconnaître votre valeur réelle. Pour cela, il est important de s’aimer soi-même. C’est à dire de vous traiter avec gentillesse, tolérance, générosité et compassion.

Oui, vous avez des défauts, des limites, des faiblesses, et vos propres démons. C’est aussi vous mais pas que ! Lâchez prise et appréciez ce que vous êtes dans votre entièreté.

S’aimer soi-même n’est pas inné, pour cela il faut prendre l’habitude de parler à soi de manière positive et agréable. 

Sur votre carnet finissez ces phrases :

  • Je me sens apprécié(e) et spécial(e) quand…
  • Je m’aime complètement et pleinement malgré…
  • Je suis une personne admirable et capable lorsque…

En parlant de vous de manière saine et positive, vous pourrez vous recentrer sur vos points forts. Vous n’êtes plus dépendant de l’approbation des autres, ni de leur reconnaissance au perso comme au pro. Cette distance avec le regard de l’Autre c’est bien ça la plus grande étape que vous devez traverser pour continuer à faire grandir votre estime de soi.

Parfois penser à quelque chose de négatif vous fait entrer dans un cercle vicieux, qui vous poussera dans des actions négatives : fumer, boire de trop, manger de trop, sortir avec des personnes toxiques, pour noyer votre chagrin. Prenez acte de ce mécanisme puis concentrez-vous sur ce qui vous rend heureux pour briser ce cercle vicieux : jouer à votre jeu favori, envoyer un message à un ami ou regarder un épisode de votre série préférée. Rien qu’avec cela vous éviterez le piège qui consiste à douter de vous et de vos capacités à vous relever en cas d’échec.

Être responsable de soi pour utiliser son estime de soi à bon escient

Vous savez désormais que vous pouvez vous faire confiance et avoir confiance en votre capacité à prendre des décisions qui vous mèneront là où vous le souhaitez.
Vous n’êtes pas en compétition avec les autres, vous êtes seul(e) dans cette aventure qui est votre vie. Il n’y a que vis-à-vis de vous-même que vous pouvez vous comparer, et l’important est de donner le meilleur de vous-même.

Ne placez pas non plus la barre trop haute, il est normal de faire des erreurs, même si vous avez l’impression d’être la seule personne à les faire (avoir l’impression n’est qu’une impression pas un fait). L’important est d’évaluer ce que vous avez fait et de chercher à vous améliorer et à augmenter vos chances de réussite pour la fois suivante.

Il est aussi intéressant de regarder de plus près certains déclencheurs qui déraillent votre journée et vous font plonger dans une spirale négative. Cela peut être par exemple, lorsque vous rencontrez des personnes elles-mêmes très négatives, qui vous racontent leur malheur et qui se vident littéralement par un long monologue avec vous, ou lorsque vous rencontrez des personnes insensibles ou ayant des discours violents.

Dans ce cas vous en éloigner le plus possible est nécessaire pour votre bien-être et votre bonheur sur le long terme.

Évitez de la même façon les fils Twitter ou Facebook haineux, les spots publicitaires ou les comptes d’influenceurs qui promeuvent un certain sens de la perfection : le leur.

 Au contraire aller chercher ce qui est en lien avec vos passions, pas celles des autres, avec les sujets qui vous intéresse et pas ceux que l’actualité met en avant. Replacez-vous au centre de vos intérêts comme de votre vie.

Ce que vous allez obtenir :


Lorsque les événements et les personnes n’ont plus de prise sur vous, vous reprenez enfin les rênes de votre vie.  Vous devenez responsable de tout ce qui se passe en vous et des actions qui découlent de vous.

Vos réussites et vos échecs sont les vôtres. Vous prenez vos propres décisions, il n’y a plus d’excuse, de jugement ou de blâme à distribuer.

Vous seul êtes à l’origine des changements qui se produisent dans votre vie, et c’est ce qui vous permet de réaliser vos rêves dans la réalité.


Et vous ? Où en êtes-vous ? Faites l’autotest ESTIME DE SOI

AUTOTEST : ESTIME DE SOI

« Qu’est-ce que je vaux ? »
« Est-ce que je mérite vraiment ce qui m’arrive ? »
« Ça ne sert à rien que je me lance là-dedans, ce n’est pas pour moi ! »

Vous auriez pu dire ces phrases ? 
Vous les avez déjà pensées ?
Dîtes à haute voix ?
Ces phrases parlent de vous et sont symptomatiques d'une faille dans votre estime de soi.

Qu'est-ce que l'estime de soi ?

L’estime de soi est l’évaluation continue de votre valeur.
Elle mesure l’importance que vous vous accordez en tant que personne.
C’est un muscle qui se développe en étant dans le respect de vos besoins, vosémotions, vos limites, et vos valeurs.
C’est aussi un miroir car l’estime de soi est intimement liée à la perception que nous avons de soi de nos qualités ou de nos défauts.

Savoir où vous en êtes avec vous-même n’a rien d’intuitif c’est pour ça que je mets à votre disposition ce test qui va vous permettre d’analyser votre niveau d’estime de soi et vous donner des informations pour améliorer la relation que vous avez avec vous-même.

Quelle est la différence avec la confiance en soi ?

L’estime de soi est à distinguer de la confiance en soi qui, elle, est liée à nos compétences, ce que l’on maîtrise ou non.

Nous pouvons donc être confiant dans un domaine, et pas dans un autre.

Et pour devenir plus confiant, nous avons besoin de travailler sur nos compétences puis de voir le résultat de nos efforts, soit parce que les autres nous le font remarquer ou alors lorsque que nous percevons que nos capacités grandissent.

⇒En résumé, l’estime de soi est liée à nos qualités ou défauts perçus en nous ainsi que nos croyances sur soi alors que la confiance en soi est liée à nos compétences dans un domaine ou aux retours de notre entourage sur notre comportement.

Au fond savez-vous que peu importe ce que vous faites, où vous êtes, avec qui vous êtes cette valeur intérieure change très peu avec le temps ou nos actions ? Par contre il est possible de la faire évoluer d’une autre façon.

En répondant à cet autotest, vous pourrez ainsi obtenir une analyse claire de votre estime de soi et reprendre la main sur votre personnalité.