L’AUTOTEST BIEN-ÊTRE 360°

Il est parfois difficile de savoir ce qui ne va pas vraiment dans notre vie.

 

Et lorsqu'on parle de bien-être cela reste un concept relativement flou dont la définition varie suivant les personnes à qui on pose la question : un médecin, un sportif, un entrepreneur, ou bien encore une personne souffrant ou ayant souffert d’une maladie grave, ne fourniront pas les mêmes éléments de réponse.

 

C'est exactement pour cela que cet Autotest Bien-Être 360° a pour but de vous fournir les éléments de connaissance nécessaires de votre bien-être pour pouvoir faire de vrais choix d'amélioration.

 

Cet Autotest Bien-Être 360° est une variante du Mental Health Continuum Short Form (MHC‑SF) qui est l'un des tests les plus utilisés pour évaluer le bien-être psychologique, le bien-être social et le bien-être émotionnel.

 

Pour chacune des 14 question suivantes indiquez laquelle se rapproche le plus de ce que vous avez ressenti au cours du dernier mois.

 

L’autodétermination pour combler ses besoins

Savoir qui l'on est pour savoir où l'on peut aller

En tant que psychologue du travail passionnée, j’ai constaté à maintes reprises le pouvoir qu’a l’autodétermination de propulser vers le succès et l’épanouissement professionnel. Dans cet article, je vais vous expliquer ce qu’est l’autodétermination, pourquoi elle est si importante, et surtout, comment vous pouvez l’installer dans votre quotidien au travail.

L'autodétermination

L’autodétermination est un concept psychologique dont l’origine remonte aux années 1970. Il a connu un fort développement en psychologie sociale dans les années 2000 notamment grâce aux psychologues américains Edward Deci et Richard Ryan.

L’autodétermination est centrée sur le fait que la nature humaine présente des caractéristiques positives persistantes comme s’engager, faire des efforts, soutenir ses proches… 

La satisfaction est nécessaire pour accéder à un bien-être optimal.

Les trois besoins fondamentaux

Ces caractéristiques psychologiques sont appelées tendances inhérentes à la croissance. Elles viennent compléter les besoins psychologiques fondamentaux dont la satisfaction est nécessaire pour accéder à un bien-être optimal :

  • L’autonomie : besoin de se sentir à la source de ses actions.
  • La compétence : besoin de se sentir capable d’effectuer des tâches de différents niveaux de difficulté.
  • L’appartenance sociale : besoin de se sentir soutenu par son entourage.

Ces besoins psychologiques innés et universels, sont à la base de la motivation et de l’intégration de la personnalité.

Un équilibre en mouvement

Si un de ces trois besoins n’est pas comblé la santé psychologique en souffre, la croissance personnelle est entravée et un jeu de compensation viens puiser dans l’énergie.

Les conditions qui soutiennent l’expérience d’autonomie, de compétence et d’appartenance sociale favorisent une forte motivation et un engagement solide dans les activités choisies, ce qui conduit à de meilleures performances, une plus grande persévérance, plus de créativité et davantage de sérénité. 

Une lutte contre l'extérieur

Le sentiment d’être contrôlé de l’extérieur ou d’être inefficace compromet la motivation intrinsèque et amène à être contrôlé par des critères externes tels que son salaire ou l’approbation de son manager.

Un développement personnel comme professionnel sera favorisé par l’intégration d’idées et de comportements qui étaient à l’origine motivés par des forces extérieures, ou par l’acceptation et la valorisation de comportements initialement accomplis pour des raisons externes. Mais, selon la théorie de l’autodétermination, cela ne peut se produire que si les trois besoins de base sont rencontrés.

L’autodétermination est un élément crucial dans la quête du bien-être et de la réussite professionnelle.
Lorsque nous avons le sentiment d’être autonomes et de pouvoir choisir nos actions, nous sommes plus motivés, plus engagés et plus productifs. Cela ne signifie pas que nous devons être seuls dans notre prise de décision.
Les employeurs comme les solopreneurs se doivent de créer un environnement de travail favorable à l’autodétermination, en offrant des choix et des responsabilités appropriés et en reconnaissant les besoins individuels de chaque salarié.
J‘encourage et je développe l’autodétermination chez les indépendants et je travaille avec les entreprises pour créer un environnement de travail sain et épanouissant.
Grâce à l’autodétermination, nous pouvons tous réaliser notre potentiel, atteindre nos objectifs et trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

Grâce à l’autodétermination, nous pouvons tous réaliser notre potentiel, atteindre nos objectifs et trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.

AUTOTEST : VAINCRE LE SYNDROME DE L’IMPOSTEUR

Comment identifier le syndrome de l'imposteur ?

Il est parfois difficile de faire le tri entre ses doutes et ses certitudes.
Est-ce que je manque de confiance en soi ou ai-je le syndrome de l’imposteur ?
L’autotest syndrome de l’imposteur va vous permettre d’y voir plus clair pour savoir quelles actions vous allez mettre réellement en place.

Ce que vous allez obtenir : Le résulat chiffré à votre test + le workbook ANCRER VOS EXPÉRIENCES.

7 individus sur 10 sont ou seront concernés

Le syndrome de l’imposteur a été décrit pour la première fois par la psychologue Pauline Rose Clance en 1978 au côté d’une autre psychologue : Suzane Imes. Leurs travaux ont été menés sur une communauté de femmes car à l’origine, on attribuait ce trouble uniquement aux femmes qui travaillaient.

Puis il a été constaté courant des années 80 qu’il peut affecter aussi bien les adultes, hommes ou femmes, que les enfants.

Le syndrome de l’imposteur n’est pas décrit comme un phénomène pathologique, ce n’est pas une maladie, c’est plutôt une « expérience » qui affecterait près de 70 % de la population à un moment de sa vie. Certains parlent de « phénomène de l’imposteur » ou d’« expérience de l’imposture ».

Les 13 critères du syndrome de l'imposteur

La liste de critères du syndrome de l’imposteur créée en 1993 par Holmes, Kertay, Adamson, Holland et Clance

  1. L’individu se décrit lui-même comme un imposteur (tricherie, plagiat, fraude).
  2. Il a des difficultés à accepter les félicitations, la reconnaissance et les compliments.
  3. Il est souvent déçu de lui-même, pensant qu’il aurait pu mieux faire.
  4. Il craint que les autres puissent découvrir ses lacunes ou son manque de compétences.
  5. Il a peur de l’échec.
  6. Il a peur de ne pas pouvoir  reproduire son succès.
  7. Il a le sentiment de ne pas être la même personne en public et en privé.
  8. Il tend à réussir même s’il craint l’échec avant même d’essayer.
  9. Il a peur de décevoir et de ne pas répondre aux attentes.
  10. Il se sent moins capable que les autres, ne se sent pas aussi intelligent malgré des signes évidents qui prouvent le contraire.
  11. Il tend à attribuer son succès à des causes externes comme les autres ou la chance.
  12. Il peut croire que des rituels comportementaux sont nécessaires pour assurer une réussite.
  13. Il peut préférer des positions, des postes à bas niveau ou non stimulants de peur d’échouer s’il se retrouve à un poste à hauteur de ses capacités.

D'où vient votre syndrome de l'imposteur ?

Beaucoup de psychologues ont tenté d’expliquer cette expérience de l’imposteur, mais il n’existe aujourd’hui aucune certitude sur la cause de ce trouble tantôt passager tantôt permanent est lié à la façon dont sa personnalité s’est construite.

Par contre il y a une conjoncture, un contexte sociétal commun qui renforce le fait que le syndrome de l’imposteur se soit répandu autant ces dernières années.
Par exemple si vous avez vécu :

  • la course à la performance,
  • la course à la productivité, au toujours plus.
  • la montée de l’individualisme autour de vous.

Ces diktats sociaux produisent un « faux » besoin d’acquérir toute sorte de compétences nécessaires pour se sentir plus légitime dans ses attributions.

Mais le résultat, après cette ultime formation qui va tout changer, c’est un retour à la normale. Le vide de confiance en soi ne s’est pas rempli, ou se vide très vite.

Souvenez-vous :

Est-ce qu’enfant vous êtiez perçu comme bon(ne) élève à l’école mais tout l’inverse dans votre famille ?
Dans ce cas aujourd’hui il est possible que vous ayez pris l’habitude de vous fier à l’opinion la plus négative en pensant que l’opinion la plus positive est un mensonge. 

La surestimation ou au contraire la dévalorisation de l’enfant par l’entourage familial peuvent aussi être à l’origine d’un syndrome de l’imposteur.

Enfin le syndrome de l’imposteur est aussi regardé par certains comme un fantasme masochiste, une forme d’auto-sabotage ou encore une peur de réussir.

Comment surmonter le syndrome de l’imposteur au travail ?

J’ai une bonne nouvelle : vous allez pouvoir commencer à mettre en place seul(e) certains mécanismes pour faire évoluer la situation que vous subissez aujourd’hui et peut-être depuis un trop long moment.

Gardez l’esprit ouvert, il s’agit de démarches à mettre en place dans le temps qui vont aussi vous faire améliorer votre jauge de confiance en soi au travail.

1. Définissez votre profil professionnel

Pour surmonter le syndrome de l’imposteur, il est dans un premier temps nécessaire que vous soyez 100% honnête avec votre profil professionnel.

Pour cela, je vous recommande d’aller chercher l’ensemble de vos savoirs pour prendre conscience réellement du professionnel que vous êtes aujourd’hui. C’est une étape d’instrospection professionnelle qui fait partie de l’accompagnement Confiance.

Reconnaissez vos points forts, ce que vous avez l’habitude de réaliser ou ce pour quoi vous pouvez vous considérer compétent(e) et expert.
Identifiez vos points faibles simplement sans chercher à aller les combler. Il ne s’agit pas d’aller chercher de nouveau à vous perdre dans les méandres d’une ultime formation pour renforcer vos compétences métier, de courir à la performance.

Il ne s’agit pas d’aller compenser juste d’observer le réel aujourd’hui.

Cette étape sera réussie si vous arrivez à visualiser clairement le professionnel que vous êtes.

2. Observez vos pensées négatives

La meilleure porte d’entrée pour le syndrome de l’imposteur ce sont vos pensées négatives. Donc si vous voulez sortir de ce schéma il va être intéressant de prendre conscience de leur présence et de leurs conséquences néfastes sur votre qualité de vie au travail comme en dehors d’ailleurs.

Les schémas de pensée négatifs sont des pensées répétitives et inutiles qui provoquent des émotions désagréables comme l’anxiété, la dépression, le stress, la peur, l’indignité, la honte. 

Demandez-vous quelles sont les tâches, les missions ou les situations qui vous angoissent, et essayez de cerner pour quelle(s) raison(s) vous éprouvez ces craintes. Vous verrez certainement apparaître certaines pensées négatives récurrentes.

 

C’est une étape d’instrospection professionnelle qui fait partie de l’accompagnement Sérénité.

Exemples de pensées négatives favorisant le syndrome de l’imposteur au travail :

« Je n’y arriverais jamais. »
« Je suis le/la plus nul(le) de l’équipe. »
« Si je me plante à l’entretien, tout est foutu. »
« S’il voit que je ne sais pas utiliser ce logiciel de gestion, ils ne vont pas me garder. »

Vous devez apprendre à repérer toutes les pensées négatives qui traversent votre esprit, et à vous parler à vous-même avec bienveillance. 

Dans l’accompagnement Sérénité, qui améliore votre qualité de vie au travail, j’incite mes clients à aller chercher ces pensées pour les repérer et les désamorcer ensemble.

3. Fixez-vous des objectifs

Prenez votre projet du moment pour lequel vous avez un attachement particulier à réussir et fixez-vous des objectifs. Cela va vous servir de 1er tremplin pour vous prouver à vous-même et à votre entourage professionnel votre réelle valeur.

Programmer par exemple le résultat technique que vous souhaitez obtenir, puis remonter vers les différentes étapes de réalisation de votre projet. Celma va non-seulement vous rassurer mais aussi augmenter le contrôle que vous aurez de la situation. 

C’est une étape d’instrospection professionnelle qui fait partie de l’accompagnement Puissance.

L’idée, c’est que vous teniez les rênes, que vous preniez les décisions, et que vous puissiez vous attribuer sans aucun doute possible vos actions et réussites.

4. Légitimez vos réussites pour gagner en assurance

Apprenez à vous félicitez de vos réussites.

Les erreurs font parties de la vie mais elles ne sont pas là pour gâcher votre plaisir à profiter de ce que vous avez réussi. Si vous êtes du genre perfectionniste vous savez que vous améliorer fera toujours partie de votre vie. Apprenez à répartir équitablement les progès que vous pouvez faire et le niveau de réussite que vous avez atteint en vous reportant aux objectifs que vous avez fixé par exemple.

Portez votre attention sur ce qui est concret et positif : ce qui a été réussi, ce que vous avez appris, ce qui vous permet de progresser vous permettra de laisser tomber le masque de l’imposteur qui vous empêche de vous épanouir pleinement dans votre quotidien au travail.

Comment prendre soin de votre anxiété ? Le Guide

À Propos

Combien de fois ressentons nous dans une même année, mois, semaine, jour, cette désagréable sensation : votre cœur qui s’emballe, se serre, votre respiration qui se coupe, des sueurs vous envahissent, votre corps se crispent entièrement, vos pensées deviennent incontrôlables ? Cette émotion boulversante tant physiquement que psycgologiquement c’est l’anxiété.

Au cours de ma vie j’ai eu l’occasion de ressentir cette émotion et de vivre avec ces symptômes qui gâchent une journée, une semaine, un mois, une année.
J’ai dû apprendre ce qu’était l’anxiété avant de pouvoir vivre avec, puis j’ai travaillé sur la restructuration de mes perceptions et de mes pensées pour pouvoir vivre sans.
Et aujourd’hui j’accompagne des personnes anxieuses vers plus de sérénité, ce que l’on appelle l’anxiété ordinaire.

Dans ce guide vous allez retrouver des informations fiables sur l’anxiété et ses causes, sur le retour à des émotions plus ordinaires mais également des conseils pour l’entourage d’une personne anxieuse.

Vous vous lancez en reconversion

C’est décidé : vous vous lancez en reconversion !

Ma reconversion professionnelle : une prise de confiance

Un déclic...

Se reconvertir est devenue une démarche courante, mais qui n’en reste pas moins une étape déterminante et délicate. Cette décision survient généralement à la suite d’un déclic, d’une prise de conscience. Il s’agit d’un changement important dans une carrière et qui a tout autant d’impact sur le plan personnel Les raisons d’une reconversion professionnelle sont  nombreuses. Il existe autant de parcours professionnels que d’individus. C’est pourquoi savoir expliquer et décrire son propre cheminement est important lorsqu’on donne un nouvel élan à sa carrière.
Vous vous lancez en reconversion

Une détermination...

Que ce soit les recruteurs, les investisseurs, ou les futurs clients, ces acteurs voudront comprendre les raisons de votre réorientation professionnelle. Être en mesure d’exposer clairement votre carrière et de justifier vos choix d’orientation montre que vous assumez ce changement de cap. Cela démontre aussi que vous êtes prêt et déterminé à réussir dans votre nouveau projet professionnel.

C’est le meilleur moyen de rassurer vos interlocuteurs au démarrage de votre nouvelle vie professionnelle et de les faire adhérer à votre projet. De cette façon, vous pourrez également faire la différence face à de futurs concurrents. De nombreux candidats ou porteurs de projet sont dans une démarche similaire

Un bon départ...

De plus en plus de salariés se disent prêts à changer de métier pour obtenir un poste à la hauteur de leurs attentes. Et même avec un déclic et une certaine détermination vous vous demandez si cette envie de changement est bien raisonnable ?
Passons en revue les meilleures motivations pour vous lancez en reconversion.

(Re)donner du sens à sa carrière

La raison principale qui pousse de salariés à se reconvertir est la quête de sens. La volonté qui en ressort est de se sentir utile et à sa place, de se rapprocher de ses valeurs ou de vivre davantage de leurs passions. Redonner du sens à sa vie professionnelle permet aussi d’atteindre un meilleur niveau de qualité de vie au travail. Mais le plus souvent il s’agit de sortir de l’ennui qu’ils éprouvent dans leur emploi actuel et de fuir la pression de leur poste actuel.
Une reconversion est ainsi l’occasion de s’épanouir et de retrouver de la motivation

Ma reconversion professionnelle améliore mon équilibre pro / perso

Se reconvertir peut permettre de mieux concilier vie professionnelle et personnelle. Obtenir plus de flexibilité, notamment en termes de libertés concernant leur temps et le lieu de travail comme par le télétravail est une demande de 32% des actifs qui aimerait commencer une reconversion.

Les conflits entre l’activité professionnelle et les contraintes familiales sont également un levier de décision et que ce soit en terme de télétravail, d’amplitudes horaires, ou de lieu (des métropoles vers les campagnes par exemple) l’objectif est d’être capable de mieux maitriser sa vie professionnelle et privée.

Ma reconversion professionnelle me permet d'évoluer professionnellement

Lorsqu’on arrive au moment charnière de sa carrière où il n’est plus possible de de gagner en responsabilités il est difficile voire impossible de continuer à s’épanouir dans son travail. La question de la reconversion ou du bilan de compétences devient alors une réelle perspective d’évolution.

Il s’agit alors d’envisager le changement via la reconversion avant que la démotivation ou bore-out* ne prenne le dessus sur votre moral. L’épuisement professionnel par l’ennui est source d’anxiété, de démotivation, et de baisse d’estime de soi pouvant conduire à la dépression.

renforcer votre estime de soi

Prendre soin de sa santé physique ou de sa santé mentale

Les maladies professionnelles comme les affections articulaires (Troubles Musculo Squelettiques TMS), lombaires, les intoxications à l’amiante ou encore le burnout peuvent être la cause d’une reconversion. 

Changer de métier en cas d’inaptitude n’est donc pas rare cependant en cas de burnout la reconversion n’est pas le 1er sujet à envisager tant il est tout d’abord important d’atteindre un niveau de rétablissement suffisant pour avoir l’énergie nécessaire à un bilan de compétences.

Ma reconversion professionnelle me permet d'obtenir mon indépendance

29 % des salariés qui souhaitent évoluer professionnellement pour retrouver de l’indépendance souhaite devenir chef d’entreprise notamment pour obtenir une plus grande reconnaissance sociale.

La reconversion vers l’entrepreneuriat permet de concilier une activité passionnante à la liberté d’être maître de son organisation.

Étude réalisée en janvier 2021 en partenariat avec l’institut CSA - baromètre de la formation et de l’emploi.

Et s'il était question de vous challenger ?

La soif d’apprendre associée à l’envie de se lancer de nouveaux défis ont tendance à guider vers la reconversion. Toutefois si pour vous l’épanouissement au travail passe en grande partie par le développement de nouvelles compétences, il est probable que vous vous retrouviez bloqué et frustré à un moment ou à un autre dans votre métier actuel si cela n’est pas déjà le cas.

Pour ce type de situation il est préférable de penser en terme de carrière et de choisir l’étape « bilan de compétences » avant celle de la reconversion professionnelle. En effet pour apprendre un nouveau métier ou découvrir un secteur d’activité le bilan de compétences pourra être la 1ère étape pour répondre à ce besoin d’évolution.

Et si vous pouviez revenir en arrière ?

Si toute expérience est enrichissante et vous servira forcément pour la suite de votre carrière, il est possible que le métier que vous exercez actuellement ne corresponde pas à ce que vous vouliez vraiment faire au départ.
La famille, les amis, les apriori sur les métiers techniques ou manuels vous ont peut-être conduit vers une voie et une profession qui ne vous fait pas ou plus rêver.

Il n’est jamais trop tard pour se recentrer sur vos anciennes vocations ou de donner plus d’importances à vos passions.
Pourquoi ne pas envisager de faire de votre passion votre futur métier ?

Devenir un entrepreneur épanoui et responsable en 3 étapes

L'empowerment : Être un entrepreneur responsable

L’entrepreneur a été longtemps présenté comme une sorte d’aventurier visionnaire, doué de prédispositions spécifiques. Aujourd’hui encore, beaucoup continuent de lister ces prédispositions et de les considérer comme déterminantes alors que la recherche a montré depuis longtemps que d’autres facteurs interviennent dans la volonté et la décision de créer son entreprise.

Certes, les caractéristiques psychologiques restent des facteurs importants mais d’autres facteurs interviennent et de plus en plus d’entrepreneurs se retrouve en situation « d’obligation » de créer leur activité à défaut de trouver un poste salarié en accord avec leurs aspirations et leurs valeurs.

Cependant le mental, ce fameux « mindset », reste dans le top 3 des facteurs décisifs qui font passer un entrepreneur lambda à un entrepreneur qui réussit. Partons en exploration dans la tête d’un nouvel entrepreneur !

Moi entrepreneur·e : Pourquoi les autres font mieux ?

Quelle est la différence entre les personnes efficaces et inefficaces?
Les personnes efficaces assument la responsabilité de leur propre succès.

Dans la vie tout n’est qu’une question de perception.
Par exemple au moment où vous lisez ces lignes peut-être que vous associez le mot perception au mot vision ? Et vous auriez raison, mais juste partiellement car la vision n’est qu’une infime partie de ce que vous, votre corps, peut percevoir.

C’est le même système qui agit lorsque vous constatez la réussite d’autres entrepreneurs : sachez que vous ne voyez qu’une infime partie de ce que peut être « la réussite », une infime partie qui ne laisse ni voir la posture de l’entrepreneur en question ni son travail en amont. Tout cela reste flou, au second plan derrière la réussite et l’idée que vous vous en faites.

Avant de vous mettre sur le chemin de la réussite prenez le temps de déconstruire vos perceptions et de vous projeter dans vos responsabilités entrepreneur.

La perception

  • La perception c’est l’accumulation de réactions automatiques par rapport à son environnement au travers de ses sens. La perception organise toutes nos interactions. C’est pourquoi, il n’est pas possible de dissocier la perception du jugement.
  • Le jugement est ce qui manque à la sensation pour rendre possible la perception.
  • Le jugement a une part de supposition, c’est un pari sur l’avenir.

Décider de ne plus voir le verre à moitié plein ou à moitié vide mais surtout apprécier le fait qu’il y ai de l’eau dans ce verre !

La responsabilisation entrepreneuriale

Ils ont trop de la chance.

Ils sont heureux.

Ils avancent dans leur vie.

Ils savent ce qu’ils veulent.

Ils ne se posent pas de questions.

Ils ne doutent pas.

Ils se fichent de l’avis des autres.

Ils savent lâcher prise.

Ils savent prendre du recul.

Quelle est MA chance ?

Quel a été MON dernier bonheur ?

Quel est MON prochain objectif ?

Qu’est-ce que JE VEUX ?

Quelles sont les questions qui ME bloquent ?

Quels sont MES doutes ?

Quel avis compte le plus pour MOI ?

Que voulez-VOUS lâcher ?

Avec quoi voulez-VOUS prendre de la distance ?

Comment devenir l’entrepreneur responsable que vous voulez être ?

Être responsabilisé

Être responsabilisé signifie avoir confiance en vos capacités et savoir que vous pouvez accéder aux ressources nécessaires pour accomplir ce que vous voulez.
Cela signifie avoir un niveau de contrôle sur vous-même et le monde qui vous entoure et être à l’aise avec ce que vous ne pouvez pas contrôler. Il s’agit de penser par vous-même et d’être fidèle à vous-même. Être responsabilisé vous permet de faire avancer les choses.
Les entrepreneurs, plus que quiconque, doivent être habilités à réussir.

Être un entrepreneur responsable
Les personnes efficaces sont responsabilisées.

Entrepreneurs : Gagnez en autonomie

Les jeunes entrepreneurs ont souvent beaucoup d’idées, beaucoup de projets, beaucoup d’envies cependant cela ne fait pas d’eux des entrepreneurs autonomes. Voici quelques conseils pour monter en compétence et en puissance.

1. Détectez vos besoins d'apprentissage

Les entrepreneurs peuvent avoir des lacunes universitaires ou techniques mais le plus souvent ils ont surtout besoin de compétences pratiques.
Tous les entrepreneurs ont pour objectif de faire avancer les choses, et cela signifie généralement apprendre en même temps que faire.
Par exemple maîtriser les médias sociaux est devenue une compétence incontournable que de nombreux entrepreneurs, et pas spécifiquement les plus âgés, doivent encore apprendre.
Acquérir des compétences en communication est souvent N°1 dans la liste des apprentissages du nouvel entrepreneur.

Entrepreneur : ne vous attendez pas à ce que les autres vous enseignent.

Cependant vous n’avez peut-être pas l’argent pour payer quelqu’un ou pour prendre des cours du soir.
C’est à ce moment-là qu’il est utile de réseauter avec d’autres entrepreneurs désireux d’échanger des connaissances et des informations. Vous les aidez et ils vous aident en retour.

Je vous conseille également les sites internes d’universités prestigieuses qui mettent en ligne du contenu de qualité et des certifications gratuites. Il y a également des sites spécialisés comme COURSERA.

2. Soyez pro-actifs !

En tant qu’entrepreneurs, vous n’avez pas le temps d’attendre qu’on vous dise quoi faire. Attendre c’est laisser quelqu’un d’autre réussir à votre place ! 

Initier une action implique souvent un risque :

  • un risque d’échouer,
  • de perdre de l’argent,
  • de perdre du temps,
  • de paraître stupide…

Être capable d’évaluer les risques et de pouvoir les anticiper, à défaut de les maitriser, sont des conditions préalables nécessaires pour piloter son activité.

Bien sûr, il existe de nombreux livres sur l’évaluation des risques commerciaux. Cependant la partie psychologique est plus délicate. Vous devez vous entraîner à être à l’aise avec les doutes et la peur et à avoir confiance en vous et en vos capacités de rebond et de résilience.

Attendre c’est laisser quelqu’un d’autre réussir à votre place ! 

3. Soyez persévérant !

Ne laissez pas les revers vous empêcher de progresser.

L’ingéniosité et la résilience sont les clés dont vous avez besoin pour continuer à faire face aux revers.

Vous devez être résilient pour rester positif, garder votre énergie et ne pas abandonner. Les entrepreneurs échouent beaucoup. Ceux qui réussissent ne se laissent pas abattre par ces échecs. Ils apprennent de leurs erreurs, se corrigent et essaient à nouveau jusqu’à ce qu’ils réussissent.

Pour renforcer la résilience, vous devez vous entraîner à échouer et à vous relever.

Être débrouillard est important lorsque vous devez trouver d’autres moyens de faire avancer les choses. La vie se déroule rarement comme vous l’attendez, et vous devez être flexible et créatif pour contourner les obstacles et briser les barrières. L’ingéniosité signifie qu’il n’y a pas de « bonne » réponse, par contre il y a toujours un autre moyen.

Pour développer votre ingéniosité, entraînez-vous à prendre du recul, à regarder les choses sous différents angles et à vous remettre en question. Vous seriez surpris de voir à quel point nous limitons notre propre pensée avec les hypothèses que nous faisons et nos biais cognitifs >ce que nous pensons vrais depuis toujours

Agissez, n’attendez pas ! Faites des erreurs et apprenez. C’est ainsi que les entrepreneurs efficaces réussissent.

QU’EST-CE QUE LE MICRO-STRESS ET COMMENT LE GÉRER ?

LA MONTAGNE STRESS IMPOSSIBLE À SURMONTER

Le stress est une réaction physiologique de l’organisme aux changements de son environnement et qui a pour résultat de maintenir son état d’équilibre.

On y comprend là son utilité et sa raison d’être.

Notre environnement c’est à la fois à l’environnement extérieur mais aussi le milieu intérieur organique.

Le stress aigu est une réponse normale de l’organisme.

Cependant, lorsque les modifications de l’environnement durent dans le temps et que l’organisme n’arrive pas ou plus à y faire face, le stress devient chronique.

Dans cette situation pathologique, l’organisme s’épuise dans une réponse qui n’est pas suffisante pour maintenir sa stabilité.

Le stress chronique peut alors être associé ou déclencheur d’autres pathologies : dépression, anxiété, syndrome de stress post-traumatique …

LE COMBAT CONTRE LE STRESS NE FONCTIONNE PAS

Les conseils classiques, pour ne pas dire archaïques, pour faire face aux situations stressantes ne fonctionnent pas efficacement parce que les facteurs de stress pointés du doigt sont des conséquences cumulatives et non des causes.  

Quelles sont les causes originelles du stress ?

Les causes originelles sont profondément ancrées dans nos usages et surtout elles sont extérieures à soi.

  • Observez les interactions avec vos relations :
    • nombreuses
    • éphémères
    • rapides.
  • Considérez ne serait-ce qu’une seule situation négative dans votre journée :
    • Un collègue plante un projet commun, s’en suit l’ambiance de frustration, de trop plein émotionnel mais juste pour vous, votre collègue lui est déjà passez à autre chose.
  • Essayez maintenant d’expliquer la situation (faits + ressentis) à quelqu’un de proche.

Ce type de discussion – comme un debrief – aide traditionnellement les gens à traiter et à gérer le stress.

Mais cela peut prendre 30 minutes pour décrire l’histoire, les liens et le contexte afin que cette personne puisse comprendre votre contrariété, puis possiblement faire preuve d’empathie (si elle en est dotée) et éventuellement faire des suggestions utiles au cours des 30 minutes suivantes (si vous lui en demandé).

On en est à 1 heure plus tard.

Vous vous sentez peut-être mieux ou vous avez peut-être perdu votre temps tous les deux.

ANXIÉTÉ PAR LA MAIN
Nous sommes frappés par 20 à 30 micro-facteurs de stress par jour, les micro-stress. 

Avez-vous du temps pour chacun ?
Avez-vous assez d’oreilles attentives ?

VOTRE AUTOTEST STRESS PERÇU

Vous connaissez la goutte d'eau qui fait déborder le vase ?

Et bien pour le stress c'est exactement ce qui se passe, vous vous contenez jusqu'à ce que vous ne puissiez plus vous contenir.

Une situation est stressante lorsque VOUS l'évaluez comme faisant déborder vos ressources d'adaptation.
Lorsque vous n'avez plus assez de recul sur une situation, de moyens pour relativiser, ou d'être résilient(e).

les symptômes du stress parasites votre bien-être et mettent en danger votre santé mentale.

Le fait de (se) dire « je suis stressé(e) » a été vidé de son sens comme toutes les expressions trop vues et trop entendues.

Je vous propose de vous réapproprier vos sensations et de remettre les bons mots sur les bons maux.

La PSS (Perceived Stress Scale) est une échelle de mesure du stress perçu adaptée de Cohen et Williamson*.

Cet autotest est le plus utilisé au monde pour mesurer notre perception du stress.

Vous allez obtenir VOTRE QUOTIENT DE STRESS PERÇU qui évalue votre niveau de stress au cours de ce dernier mois.

 

*Source : Perceived Stress Scale - Cohen, S., & Williamson, G. (1988). Perceived stress in a probability sample of the United States. Dans S. Spacapan & S. Oskamp (Eds.), The social psychology of health : Claremont Symposium on applied social psychology.

DÉFINITION DU MICRO-STRESS

Nous connaissons tous des jours où nous rentrons à la maison épuisés avec comme seul objectif d’aller dormir pour atteindre le graal du sommeil réparateur.

Pour vous cela arrive peut-être tous les jours. Mais vous avez l’explication : c’est votre dossier du moment, ou ce nouveau client, et votre patron qui vous stresse encore.

Ce que vous ne réalisez pas, c’est qu’il y a beaucoup plus qui contribue à cet épuisement :

Le stress nous arrive tous par de minuscules petites agressions tout au long de notre journée – ce que nous appelons des « micro-stress ».

Et cela vient de sources quotidiennes que vous n’auriez peut-être jamais envisagées :

  • Le volume,
  • la diversité,
  • la vitesse.

des points de contact relationnel que nous vivons tous au cours d’une journée lambda.

Ces contacts sont au-delà de tout ce que nous avons vu dans l’histoire, et de surcroit, ils ont un impact énorme sur notre santé et notre productivité au travail.

VOTRE ANXIÉTÉ EN QUESTION

LA GESTION DU MICRO STRESS

Les micro-stress épuisent nos réserves émotionnelles en créant un modèle de pensée ou de sentiment négatif. Ils nous amènent à nous inquiéter pour les personnes qui nous sont chères sans raison valable, à douter de nos actes, à nous sentir réticent à des types de communication ou à être en présence des autres. 

Une lutte contre l'accumulation des micro-stress

Alors, que peut-on faire pour atténuer les micro stress dans nos vies ?

Le fait est que ces micro-stress font tous partie de notre journée et que nous ne nous arrêtons pas pour réfléchir à la façon dont ils nous affectent.

Ils s’additionnent.

Ils peuvent survenir comme des défis momentanés certes, mais l’impact peut persister pendant des heures ou des jours.

Une forte fatigue peut sembler venir de nulle part mais quand on y regarde de plus près nous trouvons a posteriori de micro-contraintes qui s’accumulent au fil du temps. « la goutte d’eau qui fait déborder le vase ».

INVESTISSEZ DANS LE CHANGEMENT

LE PACING : mesurez vos capacités

Le Pacing consiste à faire moins que ce que vos capacités actuelles vous permettent. Il s’agit d’économiser vos ressources, qu’elles soient physiques, mentales ou émotionnelles pour être en capacité de gérer les situations ou périodes stressantes.

La démarche du Pacing va consister en trouver son équilibre optimal entre votre repos et vos activités quelles qu’elles soient.

Le gain premier va être de diminuer ou d’éliminer les semaines chaotiques entre se lever du pied gauche, ne pas avoir envie de se rendre à son travail ou encore subir le blues du dimanche soir ! La démarche du pacing vise la stabilité des humeurs, des douleurs, et des fatigues en augmentant votre capacité à pouvoir vous en occuper pas à pas, au quotidien.

Certaines personnes constatent une amélioration assez rapide de leur santé, tandis que d’autres souffrant des mêmes symptômes de stress et de fatigue suivent un schéma de rétablissement moins prévisible.

L’expérience du pacing montre toutefois une chose : être attentif, prudent et patient envers soi-même dès les premiers signaux augmentent ses chances d’améliorer son quotidien au travail comme dans sa vie personnelle.

Reconnaître et respecter ses limites demandent énormément de volonté et de discipline. C’est pourquoi il peut être pertinent de travailler le pacing avec un accompagnement expérimenté.

Quand utiliser la démarche du Pacing ?

  • Lorsqu’il vous est devenu difficile de savoir de quelle quantité d’énergie physique, mentale et émotionnelle vous allez pouvoir disposer pendant la journée.
  • Lorsque vous vous sentez épuisé·e.
  • Lorsque « vous n’êtes plus vous-même ».

L'ANXIÉTÉ EXISTENTIELLE

Le « sur-stress » lié au sens de la vie

Alors que jusqu’à récemment, notre mode de vie moderne affectait les gens essentiellement sur le plan physique et mental, l’essor des appareils à intelligence artificielle s’apprête à causer des problèmes de nature plus existentielle à mesure que les fondements mêmes de la vie et sa signification seront remis en question par le web3* et les lunettes VR d’un demi kilo (portable 30 minutes sous peine de douleurs et de maux de tête)

L’épanouissement personnel et le sens sont des pulsions humaines essentielles, et pour le moment, le principal contributeur de sens pour beaucoup de gens résidait dans leur travail. Quand le travail s’écroule ou devient subalterne, que se passe-t-il alors ? Le « sur-stress » émerge.

Non seulement il y a cette question du sens et de l’épanouissement, mais aujourd’hui chacun réalise à son rythme qu’un mode de vie plus confortable a un effet néfaste sur notre santé, notre bien-être, notre relation aux autres, notre planète… 

Il existe donc un risque bien réel que l’anxiété existentielle ne fasse qu’aggraver les problèmes actuels.

*Le Web3 est un nouveau palier de maturité technologiques et numériques. C’est un ensemble de services reposant sur des technologies ouvertes ou décentralisées (cryptomonnaies, contrats intelligents, médias auto-édités…). C’est une nouvelle itération du web qui ambitionne de ne plus dépendre des revenus publicitaires et de proposer une alternative aux places de marchés et autres GAFAME.

 

L’apparition d’une nouvelle forme de stress : le stress spirituel, appelé en termes médicaux anxiété existentielle est déjà là. 

MON TRAVAIL NE ME PLAIT PLUS

La rentrée arrive et vous n’allez plus pouvoir le cacher bien longtemps. 

Ces vacances ont été décisives pour vous. Vous avez pris du recul, même si vous n’êtes pas parti·e bien loin.
Et puis vous avez vu toute la famille, vos amis au cours de ces 2 – 3 semaines, y compris Margaux, votre cousine bien plus jeune que vous qui s’est lancée à son compte.

Et puis vous avez vu Pierre, comme tous les étés…Qui aurait dit qu’être expert-comptable le rendrait toujours aussi heureux depuis 20 ans.


Vous avez sûrement croisé Alex qui a profité du confinement pour faire un bilan de compétences et qui s’en tire pas mal

« Les efforts payent toujours !»  se plait-il à répéter.

Mais vous votre travail ne vous plait plus alors que faire ?

Il peut y avoir mille raisons pour lesquelles votre job ne vous plait plus, il peut y en avoir aussi qu’une seule. L’important, si vous décidez de vous pencher sérieusement sur le problème, cela va être de se poser les bonnes questions.

Votre état d'esprit

Certains auront envie de tout envoyer valser parce que la décision de quitter est prise, d’autres auront des doutes, d’autres encore ne sauront pas par quel bout commencer !

Certains sont ceux qui disent que leur job est tout pour eux, d’autres ne sauraient pas dire car leur métier ce n’est ni une vocation ni complètement « alimentaire ».

Il y a autant de façon de faire changer les choses que d’individus dans cette situation.

Parfois le contexte matériel ne comptera pas dans la balance, parfois c’est le regard des autres sur cette prise de risques qui sera le plus difficile à gérer.

Le job de rêve n'existe pas...

La science RH du moment fait matcher candidat et offre sauf que voilà, les relations ça va ça vient, on change, on évolue, on grandit, on choisit, on se trompe, on fait demi-tour. Il y a tant de possibilités de réussir et autant de se tromper.

Est-ce que c’est grave ? C’est à vous de juger, selon vos valeurs, vos expériences, votre auto-compassion : Combien de fois vous autorisez-vous à vous tromper ?

Dans cette article je vous propose d’exploiter ce que vous savez de vous aujourd’hui pour avancer vers votre prochain job : c’est parti !

Ce que vous ne voulez plus ?

Vous en avez sûrement quelques éléments qui vous viennent spontanément ? Ou pas ! Dans tous les cas il va falloir que vous soyez très vigilant à ne pas retomber dans les mêmes travers. En effet on a parfois tendance à retourner vers ce qu’on connaît en oubliant que cela fait partie de ce qu’on ne souhaite plus.

La meilleure solution va être de faire le tour de votre environnement de travail : des tâches jusqu’au relationnel, de votre statut jusqu’à votre volonté de carrière.

Par exemple :

«Aujourd’hui mon travail ne me plait plus parce que 

  • l’ambiance est trop…, pas assez….
  • le rythme est trop….
  • le management n’est pas assez
  • les missions ne sont pas assez…

Plus cette liste sera précise plus les changements à venir seront facile à vivre.

Ce que vous voudriez ?

En choisissant votre travail actuel vous aviez des aspirations. Vous aviez projeté ce que ce job pourrait vous apporter de bons : le confort, la sécurité, le prestige, la possibilité d’exprimer votre leadership ?

Peut-être aviez-vous trouvé dans l’image de marque de l’entreprise des valeurs qui faisaient sens pour vous ? Peut-être aviez-vous envisager d’y faire une carrière longue ?

Chacune de vos aspirations va devoir être remise en question : Avez-vous priorisé le confort d’un haut salaire à votre épanouissement professionnel par exemple ?

Aujourd’hui vous n’avez pas encore toutes les réponses néanmoins listez ce que vous voudriez vraiment. Cela peut aller des horaires, du télétravail, du salaire jusqu’au temps de trajet entre votre domicile et votre lieu de travail.

Ce qui est important c’est de voir ce à quoi vous ne souhaitez plus déroger.

Le déclencheur

Aussi important que de connaître et d’intégrer vos priorités il va falloir identifier le déclencheur de cette phrase «Mon travail ne me plait plus».

  • l’ennui s’est-il invité dans votre quotidien ?
  • un ou des conflits ont émergé ?
  • vous n’avez plus assez de temps pour vous et vos proches ?
  • vos tâches ne sont plus celles du début, ce pourquoi vous avez été embauché(e) ?

En mettant à la lumière votre déclencheur vous trouverez votre priorité N°1. Félicitations !

Comment communiquer ?

Sur votre lieu de travail

Il n’est pas du goût de tout le monde d’entendre et d’écouter un·e collègue qui exprime son « désamour »:

«J’en peux plus, faut que je parte…»

«Je n’aime plus ce que je fais…»

En dehors du fait que tout le monde n’est pas équipé de la même capacité d’empathie faire part de son désarroi et de son envie de partir peut provoquer une dégradation de l’ambiance dans votre équipe.

Il va donc falloir être attentif à votre comportement car même si vous n’y trouver plus votre compte, vos collègues eux peuvent continuer à s’y plaire et cela se respecte.

Seulement voilà ce n’est pas toujours évident de contenir de fortes émotions surtout lorsqu’on vient de s’apercevoir qu’on s’est trompé et/ou qu’il va falloir pour votre bien-être prendre de grandes décisions.

Quelques conseils :

  • Éviter de communiquer trop vite sur une éventuelle démission auprès de votre hiérarchie, en effet votre poste ne vous plait plus mais qui sait si dans un autre service vous ne trouverez pas votre bonheur.
  • Si ce qui ne vous plait plus concerne essentiellement les tâches que vous réalisez vous ne risquez pas grand-chose à demander à vous diversifier par exemple.
  • Explorez les pistes de changement en vous rapprochant de collègues qui ont demandé et obtenu une mobilité interne.

Dans votre cercle social

Il est important de partager avec vos proches l’état d’esprit dans lequel vous vous trouvez. À certains vous pourrez confier ce qui n’allait pas, à d’autres ce que vous voudriez.

Plus vous exprimerez le changement en cours plus il sera réel, réaliste, réalisable.

En effet la phrase seule « mon travail ne me plait plus » est un constat, et c’est déjà beaucoup, mais il est important de la transformer en actions concrètes et communiquer sur le changement qui va s’opérer auprès de vos proches va faciliter votre parcours vers votre nouveau poste.

Quelques conseils : 

  • Fuyez les personnes qui seront terrassées par la nouvelle, vous avez besoin de positif pas de consoler ceux qui ne sont concernés que de loin.
  • Évitez les conseils de taka et ilfoketu, je vous le disais plus haut, chaque parcours est différent, il n’y a pas recette toute prête.
  • Un bilan de compétences est une démarche introspective longue qui donne d’excellents résultats, toutefois si votre erreur de jugement porte uniquement sur votre entreprise ce ne sera pas la solution la plus agile pour votre parcours.

Passer à l'action

Le temps de la réflexion

Les étapes décrites plus haut peuvent prendre du temps. Le delta entre le moment où je vous prenez conscience de votre besoin de changement et les 1ère actions concrètes peuvent mettre plusieurs mois ( de 6 à 18 en moyenne pour une reconversion). 

Il est donc important de ne pas se mettre une pression insurmontable.

Toutefois si votre santé psychologique est atteinte il va être nécessaire d’agir avec une notion d’urgence. En effet plus vous attendrez dans cette situation plus votre santé mentale se dégradera.

Les situations de bore-out ou burnout (respectivement ennui ou épuisement professionnel) ne doivent pas être prise à la légère, n’hésitez pas à interroger votre médecin traitant si vous avez des questions.

Prendre le temps de la réflexion et sa durée va donc dépendre de votre état d’esprit, de votre état physique. 

Le temps de la grande démission

Vous avez bien réfléchi et vous êtes maintenant certain que ni ce job ni cette entreprise n’est faite pour vous. C’est décidé, vous souhaitez partir ! Mais à moins que votre santé psychologique n’en dépende : pas de précipitation.

  • Continuez à faire votre travail correctement. Vous avez tout à y gagner : de nouvelles compétences, de nouvelles relations… et peut-être une opportunité inespérée ?
  • Pendant ce temps, activez vos réseaux, approchez les recruteurs et les entreprises qui vous intéressent sur LinkedIn, soyez présent et visible.
  • Cherchez à savoir de la démission ou de la rupture conventionnelle laquelle est la plus adaptée.
QVCT

Apprenez tout sur la Qualité de Vie au Travail

L'origine de la Qualité de Vie au Travail (QVT)

L’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles) considère que la notion de QVT est apparue au début des années 70 dans les pays anglo-saxons. La notion  renvoie aux conditions et aux caractéristiques du travail qui contribuent à la motivation, la performance et la satisfaction au travail.

En France c’est le terme de Risques Psycho-Sociaux qui s’est démocratisé avant la QVT qui, elle, n’émerge que dans les années 2000.

Développée par l’ANACT, l’Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail, la QVT est définie par cette dernière à travers six points clés : 

  • La qualité des relations sociales
  • La qualité du du contenu du travail 
  • La qualité de l’environnement de travail
  • La qualité de de l’organisation du travail 
  • Les possibilités de développement professionnel 
  • Le respect de l’équilibre vie privée et vie professionnelle. 
campus santé mentale

En 2013, l’ANI QVT (Accord National Interprofessionnel pour la Qualité de Vie au Travail) est le premier document officiel à mentionner la QVT, dont il propose la définition suivante : 

 

Un sentiment de bien-être au travail perçu collectivement et individuellement qui englobe l’ambiance, la culture de l’entreprise, l’intérêt du travail, les conditions de travail, le sentiment d’implication, le degré d’autonomie et de responsabilisation, l’égalité, un droit à l’erreur accordé à chacun, une reconnaissance et une valorisation du travail effectué.

En 2015, la loi Rebsamen va entériner une négociation annuelle pour la QVT au sein de toutes les entreprises.

En 2020, l’ANI QVT décide que la QVT deviendra la QVCT. La notion de Conditions de Travail semble s’être progressivement effacée au profit de la Qualité de Vie au Travail. En changeant d’acronyme la question des conditions de travail est réintégrée.

La démarche QVCT

La mise en place d’une démarche QVCT, bien qu’elle se soit démocratisée dans les grandes entreprises, a encore du mal à s’imposer dans les TPE PME. On détecte le manque de temps le plus souvent, de connaissance technique ou de connaissance d’un(e) consultant(e) certifié(e).

Dans cette phase, l’objectif est de créer un comité de pilotage de la démarche QVCT en interne et d’identifier les modalités de pilotage : outils à disposition, calendrier de mise en place… Il s’agit de la phase de préparation.

Un diagnostic QVCT mesure les niveaux de bien-être et de santé mentale et physique dans une entreprise. Quelles actions ont été mises en place ? Il faut aussi s’interroger sur le fonctionnement de l’entreprise comme l’intégration, l’évolution professionnelle, la montée en compétences, les relations sociales et la gestion de la santé mentale.

Une fois les informations récoltées elles doivent être analysées pour établir un plan d’amélioration de la Qualité de Vie et des Conditions de Travail.

Les résultats récoltés permettent d’expérimenter, de mesurer, d’améliorer la QVCT. 

La démarche QVCT est un processus continu d’amélioration et il faut constamment être à la recherche de moyens d’améliorer les conditions de travail.

Une fois les expériences validées, les succès peuvent être généralisés à l’ensemble de l’entreprise associé à la mise en place d’un baromètre QVT. 

Le pouvoir de la communication QVCT

Communiquez autour des actions

  • Communiquez sur les actions mises en place, sur leurs objectifs, les succès comme les erreurs.
  • Valoriser les actions de type « test ans learn »( essayer et apprendre).

Cela aidera vos collaborateurs à mieux comprendre la démarche, et facilitera les retours d’expériences indispensables à l’amélioration. Il est très important de sensibiliser aux questions de QVCT toutes les parties prenantes de la démarche.

  • Planifier vos actions sur des échéances diverses.

Cela va vous permettre de mettre en place des actions, de présenter à vos collaborateurs des résultats plus rapides et rendre plus concrète la démarche. Les actions sur un temps plus long vous permettront d’agir plus en profondeur.

COMMENT REMETTRE À NIVEAU SA CONFIANCE EN SOI ?

La confiance en soi n’est pas innée, elle se développe et s’acquiert.

Le manque de confiance en soi biaise vos interprétations des événements force à esquivez nos peurs.

Parcourons les 5 étapes indispensables au développement de la confiance en soi : LA CAAAR© une méthode éprouvée pour prendre soin de soi (care en anglais)

    1. Connaissance de soi,
    2. Acceptation de soi,
    3. Affirmation des besoins,
    4. Acquisition des compétences,
    5. Reconnaissance par l’autre.

1. LA CONNAISSANCE DE SOI

« Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien »
Socrate.

Le premier pas vers la connaissance de soi c’est commencer par reconnaître sa propre ignorance de soi, en toute humilité.

Sans une profonde connaissance de soi, chacun se heurte à 2 mécanismes limitants :

  • Soit il est difficile de pouvoir développer sa propre identité.
  • Soit la confiance en soi devient dangereuse car fondée sur de fausses certitudes.

Celles et ceux qui sont dans l’excès de confiance en soi, sans se connaître, finissent par dévaler la montagne.

Avoir ou retrouver confiance en soi sainement et authentiquement, passe  inévitablement par une bonne connaissance de soi.

La connaissance de soi peut être approfondie par une meilleure compréhension des causes qui nous gouvernent, pour mieux nous émanciper et piloter nos propres décisions. Mais aussi par apprendre à lâcher prise, prendre du temps pour soi, renouer avec ses désirs fondamentaux et donner ou retrouver un sens à sa vie.
Il est parfois compliqué de développer une connaissance de soi avancée, uniquement par ses propres moyens, car le plus souvent vos soucis, vos doutes, vos blocages sont contenus dans votre façon de penser.
Pour faire évoluer vos représentations, vos schémas habituels, pour accéder à de nouvelles perspectives, à un nouveau départ sans partir de zéro pour autant cela nécessite un accompagnement éclairé.

Par la connaissance de soi, chacun peut vivre la vie qui lui correspond en cohérence avec ses potentialités, ses valeurs, ses désirs.

Travailler son charisme : c'est possible !

Cochez lorsque vous êtes d'accord avec les questions posées pour savoir où vous en êtes côté charisme :

🔲Vous avez des difficultés pour garder l’attention de vos interlocuteurs ?

🔲Vous vous sentez terriblement gêné·e lorsqu’on vous regarde avec insistance ?

🔲Vous vous dévalorisez parfois en public ?

🔲Vous êtes introverti·e ?

🔲Vous intervenez pas ou peu en réunion ?

🔲Vous trouvez votre style trop discret ?

🔲Vous pensez que le charisme on l’a ou on ne l’a pas ?

🔲Vous avez déjà pensé faire une formation de prise de parole en public ?

2 à 6 questions cochées : Vous n’osez pas encore être vraiment vous-même. Travailler votre charisme pourra vous amener à gagner en naturel et en présence.

6 à 8 questions cochées : Vous n’habitez pas suffisamment votre corps. Travailler votre charisme pourra vous aider à passer de chenille à papillon et allez au-devant des autres et du monde.

Attitudes, tempérament, discours ou actions.

Voilà ce sur quoi nous jugeons que quelqu’un a du charisme, ou voilà ce qui provoque chez soi fascination ou inspiration, séduction ou mystère.

Que remarquons-nous dans les mots attitudes, tempérament, discours ou actions ?

Ils font tous écho à un travail :

L’attitude s’étudie.
Les actions se mesurent.
Le tempérament se tempère.
Le discours se muscle et s’aiguise.

Les personnes charismatiques ont une bonne connaissance d’elles-mêmes et ont développé l’art du relationnel. Ce sont des gens aimés et aimables, qui attirent et suscitent des sentiments forts sans passer inaperçus.

Vous avez pu commencer à faire le point sur l’état de votre charisme par les 8 phrases ci-dessus et c’est essentiel car définir ce que vous souhaitez obtenir est impératif pour assurer le développement de votre charisme vers là où vous en avez besoin.

Vient ensuite un scan de votre estime de soi et de votre confiance en soi. De votre capacité à accepter la personne que vous êtes avec ses qualités et ses défauts. Enfin d’exprimer votre personnalité et vos convictions avec impact.

Vous êtes unique également dans votre façon de communiquer. Plus vous communiquerez plus vous apprendrez des autres plus votre aura rayonnera au monde. C’est ainsi que vous prendrez plaisir à vous montrer tel·le que vous êtes et être fier·e de vous en toute simplicité.

2. ACCEPTATION DE SOI

Les défauts sont une question de perception personnelle ou sociétale.

Chouchoutez vos qualités et vos défauts !

Vous lirez ici ou là de faire la liste de vos qualités, de demander à vos entourages, amis, famille, collègues de vous y aider. Et je vous y encourage.

Vous lirez de faire de même avec vos défauts et là je dis STOP. Les défauts sont une question de perception personnelle ou sociétale : 

L’impatience, le perfectionnisme, l’ambition, être rêveur·se, la méfiance…
La façon de présenter les choses s’il s’agit par exemple de prétendre à un poste, change complètement la vision et le ressenti vis à vis du défaut initial. On parle ainsi d’avoir les qualités de ses défauts.

3. AFFIRMATION DES BESOINS

Apprenez à recevoir les compliments car, vous le savez, cela ne va pas de soi, vous pouvez ressentir une certaine gêne comme si vous ne méritiez pas ces gentils mots.

Vous êtes pilote de votre processus d'amélioration interne !

Apprenez à complimenter votre entourage, leurs actions positives et à les encourager sans mettre en doute leurs capacités. 

Pourquoi ?

Parce que pour recevoir et venir booster votre confiance en vous il faut d’abord semer du positif autour de vous. Attention il ne s’agit pas d’aller au-delà de la sincérité sinon la graine ne germera pas !

N’hésitez pas à aller récolter les avis sur vos actes autour de vous après une présentation, un match…le feedback ne fonctionne pas qu’en marketing, il fait partie de votre chemin d’amélioration.

Enfin récoltez les fruits et apprenez à recevoir les compliments car, vous le savez, cela ne va pas de soi, vous pouvez ressentir une certaine gêne comme si vous ne méritiez pas ces gentils mots.

Cette prise de poids en valeur de soi demande du temps et c’est un exercice quotidien.

4. ACQUISITION DES COMPÉTENCES

Acceptez que ce que vous connaissez et qui vous rassure n’est pas bénéfique ni pour votre épanouissement personnel ni pour votre environnement professionnel ni pour votre entourage.

OSEZ OSER !

  1. Mettez en place des stratégies pour sortir de vos habitudes, la célèbre « zone de confort » bien mal nommée puisqu’elle vous paralyse plus qu’elle ne vous aide à avancer.
  2. Acceptez que ce que vous connaissez et qui vous rassure n’est pas bénéfique ni pour votre épanouissement personnel ni pour votre environnement professionnel ni pour votre entourage.
  3. Apprenez à faire des choses qui ne sont pas confortables ou faciles pour vous. Lorsque vous les aurez faites, vous vous rendrez compte que les difficultés résidaient dans ce que vous pensiez être capable de faire VERSUS ce que sont vos réelles compétences.
  4. Récoltez les preuves de votre valeur : cela peut aller de la gratitude de votre entourage à, par exemple, la reconnaissance de votre travail par votre hiérarchie ou un mentor.

5. RECONNAISSANCE PAR L'AUTRE

Nous manquons tous de recul lorsque nous faisons des efforts pour améliorer notre vie.

Créez une roadmap pour vos progrès

Nous manquons tous de recul lorsque nous faisons des efforts pour améliorer notre vie. Nous sommes la tête dans le guidon, alors que si nous nous redressions régulièrement pour admirer le paysage nous pourrions prendre pleinement conscience de notre évolution et surtout nous en féliciter !

Dès que vous avez une idée, un projet ou un objectif qui vous vient en tête faites un premier pas en avant :

  • Notez cette idée et ainsi faites la passer de l’immatériel de votre cerveau à la réalité de votre écriture sur du papier.
  • Accueillez les pensées négatives comme « de toute façon je ne sais pas le faire » car cela est peut-être vrai, peut-être qu’il vous faudra acquérir des compétences  pour atteindre votre objectif.

Quoiqu’il en soit miner votre espoir par du négatif ne vous mènera pas aux résultats, par contre cela va vous permettre d’en apprendre davantage sur vous et sur les points à améliorer.

Écrire votre objectif est une action concrète et vous serez déjà fier·e de vous. Cela se transformera en confiance en vous.

Au quotidien, plus vous agissez pour vous plus vous serez reconnu par vos pairs.